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OVNI : Les rencontres ultra confidentielles de Fantasist. Ou un cas d'école pour un guide.

Dernière mise à jour : 8 juin 2023

Tout à son idée de catégorisation, ce brave Allen Hynek n’avait certainement pas prévu cette catégorie qui fait l’objet de ce petit billet.

Ces rencontres, classées de 1 à 3 à l’origine, avaient même fait l’objet d’un remarquable film de science-fiction « Rencontre du troisième type » que le talent de S. Spielberg a su mettre en valeur.

  • Rencontre du premier type : qui consiste en l’observation d’un objet vu à moins de 150 mètres.

  • Rencontre du second type : qui consiste en l’observation d’un objet proche du sol ou au sol.

  • Rencontre du troisième type : Les témoins observent des êtres en présence d’un engin insolite.

Nous remarquerons que définir une distance de 150 mètres est déjà un handicap lorsque nous savons que la lune fut observée à moins de 100 m de témoins, au sol et écrasant des fougères !


A cela ajoutons d’autres Rencontres que les ufologues, toujours en mal de bonnes idées, ajoutèrent ensuite :

  • Rencontre du quatrième type : Des témoins prétendent avoir été enlevés par les occupants des OVNIs.

  • Rencontre du cinquième type : Des témoins affirment être entrés en communication avec les entités – on les nomme des « contactés ».

A croire qu’en cas d’enlèvement, le contact avec nos ET n’est pas une communication.


Enfin pour faire bonne mesure, ces mêmes ufologues crurent bon d’ajouter une rencontre du sixième type qui se rapporte aux mutilations animales.

Clôturons par les rencontres du septième type plaçant un témoin en situation de rapport sexuel avec une ou un occupant des OVNIs’. Roger, notre témoin des Boules de l’Aveyron (De bien curieuse boules en Aveyron… (1) Si vous pouviez vous taire…. (navigateur88.wixsite.com) est de ceux-ci.


Aujourd’hui je propose un ajout, celui de deux rencontres pour un type particulier de témoin. Nous allons voir que parfois l’imagination dépasse ce à quoi nous pouvons penser dans la vie de tous les jours. Le personnage dont il est question ici, et dont je tais le nom par compassion pour lui et que j’appellerai dans ce texte « fantasist », a eu, un moment, (trop long pour moi) où sa participation à l’ufologie fut assez néfaste. Il est, de nos jours, considéré comme fiable par quelques tenants croyants, qui se refusent à admettre que les assertions du sieur n’étaient qu’inventions. Heureusement sa prose n’eut guère de succès auprès des ufologues un tant soit peu sérieux.


Comme à mon habitude, je tiens à disposition les numérisations en intégralité (quelques feuillets) des pièces en ma possession sur simple demande privée.


L’affaire est assez cocasse et ne demande pas d’effort particulier pour que chacun s’aperçoive du non fondé des affirmations. Je vais donc juste faire ce que l’ufologie fait de mieux, vous raconter une histoire d’OVNI :


16 août 1989, environ de Eschbourg (67)


« Il faut se rappeler le contexte, le témoin commence par ce préambule qui le place en position d’identification immédiate, : en été 1989 je revenais de Grande Bretagne où j’avais commencé à étudier les cercles dans les champs de blés » (1)


« Je me trouvais en Alsace où je venais de rendre visite à mon amie. En partant de chez elle vers 23h, je décide d’aller un peu me promener dans la région. Au lieu de remonter plein Nord, je pique vers le Sud vers Sarrebourg. Du village où réside mon amie : je prends donc la direction de la Petite Pierre où j’oblique au Sud pour aller vers Eschbourg. »


A deux kilomètres de la Petite Pierre, il aperçoit sur la route une boule orange semblant posée !


« Habitué à l’étude de ces phénomènes, comme vous pouvez l’imaginer, je décide d’avancer prudemment. Je repère l’heure, 23h37 ! Je commence à prendre des notes. Je décide, au bout de 3 minutes, de laisser la voiture au bord de la route en ne laissant que les veilleuses pour pouvoir la repérer du plus loin possible. »


"La boule prend la largeur de la route, là, entre les bois. »


Fantasist s’approche sans faire de bruit et arrive enfin à une vingtaine de mètres de l’objet.

« La sphère est sans relief, éclairée de l’intérieur. Elle a un mouvement de rotation très léger, en sens contraire » (des aiguilles d’une montre, je suppose).


En observant posément, Fantasist aperçoit une sorte de porte qui semble s’ouvrir.


« La porte s’illumine plus fort que l’objet pendant que ce dernier s’arrête de tourner. Durant une quinzaine de secondes, rien ne se passe, puis l’engin commence à changer de couleur pour passer au vert pale. La couleur de la porte ne varie pas et reste orange. De ce fait, elle devient très visible. La métamorphose durera 1 minute. Puis la porte s’ouvre lentement et je vois une silhouette s’encadrer dans la puissante lumière orange qui baigne à l’intérieur de l’objet. Une sorte d’escalator apparait alors devant la porte et l’être descend sur une sorte de tapis roulant. Je m’approche à environ 5 mètres de l’engin. »


Déjà extraordinaire, la suite du récit vire crescendo dans le fantastique !


« L’être apparait un peu comme un être humain, vêtu d’une combinaison grisâtre. Pas de scaphandre, donc l’être respire notre air. Il a les yeux bleus, très clairs, il est blond avec des cheveux mi longs. (2). Traits fins et des lèvres bien dessinées. Pas de sourcils. »


L’être reste là à fixer notre ami témoin durant près de deux minutes. Il sourit et Fantasist n’a pas peur ! Il indique dans la première page de son « rapport » : « J’assiste à un événement que je ne reverrai plus de ma vie. Je note tout dans ma tête, j’emplis ma mémoire de détails. ».


A sa taille l’être a une ceinture noire et une sorte d’étui sur son flanc droit.

Au bout des deux minutes sans bouger, l’être se retourne et lève son bras droit, sa main a bien cinq doigts ! Là deux autres humanoïdes sortent. Ils sont identiques au premier et sourient eux aussi. Fantasist prend alors son courage à deux mains et s’approche encore un peu plus des êtres. Il arrive même à les toucher. Il s’arrête et les observe ! Ils sourient toujours et ne cherchent pas à fuir (3).


Les deux humanoïdes nouvellement arrivés se dirigent alors vers la droite et ramassent des plantes au bord de la route (4). Là, gonflé, notre témoin se dirige vers eux, se baisse et ramasse quelques fleurs. Il en fait alors un bouquet et va le tendre vers le premier humanoïde, toujours là, sans bouger, telle une statue. L’être lui sourit, prend le bouquet.


Les deux autres humanoïdes remontent dans la boule, le dernier montre alors le ciel et ramène sur sa poitrine sa main, lentement. Puis il remontre le ciel. Il rentre dans l’objet, la boule pardon. Par la suite la porte se referme lentement avant que l’objet tout en retournant à l’orange commence à s’élever lentement, verticalement, doucement. Il va disparaitre en rasant les arbres.


Fantasist retourne à sa voiture, il est alors 00h03 tout heureux de cette rencontre d’un type particulier. Mais ce n’est pas terminé pour autant. Non, là d’un coup, surprise, au moment où notre témoin va pour remonter dans son véhicule, le voilà frappé par un faisceau de lumière blanche. Il se retourne pour apercevoir la boule passant lentement au-dessus de lui. Il est cette fois 00h07 et s’en est terminé.


Consciencieux, méthodique, presque sceptique, Fantasist va chercher dès le lendemain à comprendre ce qu’il a bien pu voir. Après tout c’est peut-être un hélicoptère. On est rationnel ou pas ! Il note alors en conclusion : « Mes recherches m’amèneront à envisager une rencontre avec des militaires, mais rien ne permet d’affirmer cela. Aucun avion, hélicoptère, ballon ou autre objet volant n’a évolué dans ce secteur au moment de mon observation ». Il faut dire que durant sa « carrière » d’ufologue, notre témoin n'aurait eu, en guise de contacts humains, que des gens hautement placés, pilotes d’avions ou d’hélico qui le renseignait immédiatement et à n’importe quelle heure du jour et de la nuit.,


Sur ces quelques feuillets (4 en tout carte incluse) voici ce qu’il dessina :

L'être en question :



La fameuse boule :




Fantasist ne mentionne toutefois pas la présence de la lune, particulièrement éclairante ce soir-là :



A 20h il y a eu du tonnerre, mais pas de pluie. Une visibilité d’environ 15 km. En revanche le ciel était couvert en partie, présence de pluie mais plus tard. Notons le vent avec des pointes à 53 km/h vers 00h.

Ces éléments importants ne sont pas inscrits dans les notes de notre témoin.


25 novembre 1990 – Schöenbourg (67)


Si la première rencontre tient sur deux pages A4, la seconde n’en prend qu’une et demi. Pourtant elle est manifestement la plus extraordinaire des deux histoires.


En préambule, notre témoin-ufologue-enquêteur indique derechef : « ECOL n’était pas encore créée mais ses fondements se précisaient. »


Fantasist dit se rendre chez son amie, mais elle n’est pas là ! Parfois c‘est ballot, on se déplace et hop, personne. Il décide donc de rentrer sur Nancy en prenant le chemin des écoliers. Il se retrouve donc sur la route forestière du Rehbach.


Arrivé à la hauteur du village de Schöenbourg, il aperçoit un objet posé sur la route. Ses souvenirs s’envolent vers cette rencontre improbable de 1989. Il décide donc de reconduire sa façon de faire et s’approche lentement de l’engin. Il est alors 20h10. L’objet émet une lumière orange et prend la largeur de la route. Il marche vite, se dirige vers les lieux. Aucune peur, juste un peu d’appréhension « Un peu normale dans ce genre de situation » dit-il.

Et à moins de 10 mètres de lui, deux personnages attendent, souriants « J’ai l’impression qu’ils m’attendaient » déclare -t-il bonnement.


« Je me sens bien, sans peur et en confiance avec eux. Au bout d’une trentaine de secondes, l’un des êtres lève une main vers le ciel – la droite – et de l’autre désigne son compagnon. J’ai l’impression qu’une image se forme en moi. Je vois des étoiles, des planètes, des comètes… Il me semble que ces deux personnages essayent de me faire passer un message télépathique. »

On se demande ici la pertinence de « voir des comètes » mais comme pour le grand barbu là-haut certaines voies sont impénétrables.


Fantasist poursuit : « Je lève alors la main et leur désigne la Grande Ourse, le ciel est merveilleusement dégagé. L’être de droite m’indique une autre direction, celle de la constellation de la Vierge. Cette précision est relative car je n’ai pas de connaissance absolue dans le domaine de l’astronomie : cette supposition est basée sur les détails que j’ai pu noter durant l’observation et à une confirmation effectuée ensuite sur une carte du ciel ».


L’être montra alors son camarade et de nouveau la même étoile (laquelle ? Ce n’est pas dit). Fantasist s’accroupit alors et dessine sur le sable notre système solaire stylisé. (Voir le dessin en dessous). Il montre alors la Terre et dessine vaguement notre voie lactée. L’être dessine alors à son tour une boule, vers le bas du schéma puis un autre vers le haut. Il indique alors la boule vers le haut en se désignant encore une fois. Notre narrateur montre à son tour la boule dessinée en bas et se montre. Cette fois l’être ajoute une dizaine de points. Fantasist se demande si la signification n’est pas que les autres points de l’Univers sont aussi habités ? (voir note en dessous *)


Dix minutes plus tard, l’humain et l’être stellaire se redressent. Le second personnage sourit toujours et, jamais à court d’idée, notre témoin indique sa montre, dessine un tour de cadran, puis montre le dessin de la Terre et simule une rotation. Il ajoute à son monologue muet, le geste du doigt montrant sa planète à l’être puis la voie lactée. L’être comprend, sinon il ne serait pas là, et trace une ligne entre la Terre et Jupiter.


« J’en déduis que pour lui, le déplacement de sa patrie vers la nôtre doit se dérouler dans le même temps que nous pour se rendre sur Jupiter ».


Puis, poursuit-il, il dessine un trait entre les deux, comme une barrière (voir croquis plus bas). Puis il fait en oblique un trait reliant les deux. « Cela me fait penser à des univers reliés par un lien invisible ».


L’objet finira par repartir vers l’ouest, d’abord lentement, puis à une vitesse fantastique vers le nord. Il va disparaitre à l’horizon.


Ce qui est bizarre dans l’approche de notre témoin-narrateur, enquêteur-ufologue c’est cette lancinante question qui revient comme une obligation, une véritable obsession : « Mes recherches ont permis de dire qu’aucun avion, aucun hélicoptère ne se trouvaient là à cette heure. ».


Si des êtres montrent leur système solaire, il m’apparait à peuprès certain que nous n’aurions pas affaire à des pilotes d ‘avions ou d’hélicoptère. Sceptique certes mais pas idiot.



Le dessin montrant les différentes phases de l’entretien avec deux êtres venant d’ailleurs. En haut notre voie lactée et notre position dans cette dernière. En dessous notre système solaire. Juste en dessous des points dans des cercles avec un agrandissement des points. A côté deux boules reliées entre elles avec une barre les séparant.


Ils sont taquins nos ET parfois. Si pour les Hill la carte stellaire était relativement précise, ici il est clair que même avec un GPS une soucoupe, même un vieux modèle, ne pourrait s’y retrouver. A moins que le vague soit dans l’esprit de nos visiteurs ?



Les dessins sont calqués ! Seules les annotations diffèrent des croquis du cas précédant.

Aucune mention de la lune présente lors de la seconde rencontre :



Dans son récit Fantasist donne quelques éléments assez précis. Il dit : « Je lève alors la main et leur désigne la Grande Ourse ». L’être de droite m’indique une autre direction, celle de la constellation de la Vierge. ». Or nous voyons bien sur ces deux captures que la constellation de la Vierge était impossible à voir car étant sous l ’horizon….

Comment l’être de notre ami pouvait montrer du doigt une telle constellation ? Il ne s’imaginait pas que la vérification astronomique allait être redoutable ?




Ce n’est, pour la petite histoire, pas la seule fois ou Fantasist se plante avec notre ciel. Une fois il écrivit pour un même espace-temps : « Temps très nuageux, ciel couvert » puis plus loin, « Vu trois satellites » ! La mythomanie est une tendance pathologique à la fabulation, à la simulation par le mensonge. Le mythomane invente des faits imaginaires pour se valoriser. J’ignore, n’étant pas médecin ni psychologue, si c’est le cas de notre « collègue », mais la question se pose. Ayant quelques informations bien étayées, je pencherais vers une tendance à se faire valoir et se venger d’une certaine ufologie pragmatique que ne devait pas lui plaire particulièrement.



La météo ne montre pas d’archives utilisables. Juste un petit vent de secteur 210° à 11km/h (rafale de 25 km/h).


Des traces ?


Nous ne retrouvons pas ces deux cas dans les catalogues ECOL de 1990, ni dans celui de 1991 et encore moins dans le bulletin du même nom !


On se demande bien pourquoi Fantasist effectue ses recherches auprès des « instances militaires » (sic) puisqu’il a dans sa conversation avec les êtres l’étrange échange à propos de notre voie lactée (entre autres). Il voudrait se donner un semblant de sérieux ou de crédibilité … que ce serait loupé !

Dans un cas comme dans l’autre, le nombre de similitudes (soulignées dans le texte) est frappant ! Un mélange du contacté Adamski avec les Vénusiens blonds aux yeux bleus, d’un des êtres de Valensole qui ramasse des brins de lavande et d’autres contactés tels les Hill et leur carte du ciel.


Si de tels récits avaient une once de crédibilité, nul doute que notre ufologue au « sachoir » si grand n’aurait rien lâché de l’affaire. Mieux, durant sa période d’activité au sein du groupe ECOL ou du GUIDE ses récits auraient été connus de tous. Or vous ne trouverez rien (sur demande j’ai une grande partie des bulletins et catalogues émis par le dit Fantasist par ailleurs auteur de plusieurs autres récits fantastiques dans un lieu bien déterminé : la forêt de Haye près de Nancy). Ses croquis sont pratiques car ils évitent l’ajout toujours dangereux lors d’un récit inventé, de détails sur les êtres (ce sont les mêmes), pour la boule idem (la même) etc… Seul le contenu varie mais reste avec ce sentiment qu’à la première observation il aurait omis certaines choses. La seconde intervient donc à point pour compléter un récit d’ensemble qui se voudrait cohérent. Point trop de détails non plus, on évite ainsi de se couper lors d’un éventuel autre récit à X personnes.


Il est heureux que tout cela ne soit pas largement repris ailleurs, la pollution de la casuistique est déjà assez lourde pour ne pas en ajouter. Ce qui est assez effrayant est de constater que même avertis, certains « ufologues » conservent une crédulité envers les histoires du personnage. Il faut dire que les certitudes d’une intervention d’une « intelligence du dehors, » comme se plaisait à le dire feu J Guieu, est largement ancrées chez ces gens là avec, en pointe, une « autre conscience », ce fameux truc non falsifiable, indémontrable mais surtout passe-partout pour éviter une discussion sérieuse autour de ce passionnant sujet.


C’est l’état d’esprit de quelques afficionados de la « soucoupe » et des « êtres supérieurs » qui voient dans ma démarche de sceptique une négation du sujet faute de comprendre qu’il est nécessaire de savoir de quoi et de qui on parle. Ils ne s’interrogent pas sur le manque flagrant d’informations de ces deux cas de la part d’un témoin, trempant jusqu’au cou dans l’Ufologie fallacieuse. La pauvreté est garce… pour paraphraser feu Leny Escudéro. Et puis connaitre tout cela évite le gobage en sus d'apprendre les vérifications les plus élementaires.


Des histoires d’OVNI il en existe à la pelle. Souvent aussi fabuleuses, aussi extraordinaires que celles soumises ici. En plus de 45 ans j’ai reçu des courriers m’affirmant que X détenait des photos tellement extraordinaires d’une soucoupe que plus personne ne pourrait en douter. La « soucoupe se tenait au-dessus des fils électriques à 10 mètres de moi ». Lorsque j’ai voulu, insatiable curieux, voir ces photos, plus de réponse. Le témoin résidait au Beausset près de Toulon, mon « fief » d’alors ! Ou alors cette histoire d’une grand-mère qui, durant la dernière guerre, avait reçu la visite d’un petit être chez elle, venant d’une « soucoupe » qui s’était posée dans son jardin. « Elle a conservée longtemps un bout étrange de la soucoupe » m’avait dit alors son petit-fils sans suite malgré mon insistance, et bien d’autres encore.


Parfois ces histoires me parvenaient de la bouche même d’ufologues : « J’ai encore de la poudre blanche dans des fioles, là où l’OVNI s’est posé », dixit un personnage jadis assez bien connu du milieu ufologique ou encore : « J’ai, caché dans le faux plafond de l’appartement de mon ancien domicile, des fioles avec du liquide » et l’ufologue racontait le contexte abracadabrantesque à base d’ovnis et de personnages étranges. Lorsqu’avec ma compagne nous lui avons soumis l’idée de faire une analyse avec comme deal « Si c’est extraordinaire, nous payons le tout, si c’est du n’importe quoi tu rembourses les frais ». Ma compagne a eu la maladresse de lui dire « Faites vite pour récupérer les fioles car imaginez qu’il y ait un incendie ! ». Selon l’ufologue, quelques jours plus tard, il y aurait eu le feu et tout avait été détruit. Parfois je me demande si un don n’habite pas ma compagne, car ce n’est pas la première fois qu’elle prévoit un scénario empêchant d’avoir la preuve d’un de ces fantastiques et fantasques récits….


L’ufologie se raconte (ici deux beaux récits), alors que les faits s’étudient…


UFO l’savoir non ?

(Mai 2023 P Seray)


Notes :


* Réflexion pertinente d'une lectrice :- "Une question m'est venue (je ne connais pas du tout cette région), mais, lors de la 2e rencontre de 1990, comment a t'il pu dessiner sur le sable de la route forestière du Rehbach (où l'engin posé tient toute la largeur, d'après ses dires), alors que cette route est forcément soit goudronnée, soit a minima empierrée, puisqu'il y circule en voiture ?" (Niki Daix)

  1. – C’était le début de ce qui allait devenir le rapport VECA dont notre témoin ici n’a que de très loin participé, n’étant pas en accord avec les autres personnes des différents voyages en Angleterre pour l’élaboration des principes expliquant la faisabilité humaine des crop-circles.

  2. – Voilà qui pue la copie d’Adamski.

  3. - Qui a osé dire que les témoins fuyaient devant des êtres d’un autre monde ? Qui affirme qu’ils ont peur nos témoins ? Balivernes !

  4. – Le premier qui ose dire qu’il y a là une inspiration de l’affaire Valensole… a probablement raison.







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