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De bien curieuse boules en Aveyron… (2) : La contre-enquête interdite...

Dernière mise à jour : 13 avr. 2023


Pour bien comprendre la suite de cette affaire, il est nécessaire de préciser qu'il ne s'agit pas de "tromperie" ici mais juste d'expression de convictions qui, dans le contexte , s'explique parfaitement. La croyance en un phénomène exotique, prégnant, palpable, établi était de mise et peu d'enquêteurs ufologues de l'époque ne remettait en cause leurs aquis. Le scepticisme n'était pas encore ce qu'il est de nos jours.



Et c’est là qu’intervient un autre enquêteur, lui aussi de LDLN, certainement plus critique lui et qui a le désir de vérification. Le personnage du père comme celui du fils apparaissent comme étant les deux principaux éléments du dossier. Le comportement de l’un par rapport à l’autre (Pére au fils), créent un sentiment de malaise à la lecture des trois articles de LDLN.


Ne sachant s'il serait de bon ton de révéler son identité, malgré les années passées, nous conserverons son anonymat. Le document original comporte 8 pages et le petit mot mis en introduction. Il ne s’agit pas de refaire l’intégralité de l’enquête mais de planter le décor à titre d’information. Nous ne forcerons aucun trait non plus, un peu à l’image de l’affaire de Taizé qui comporte bien d’autres éléments à charge que nous n’avons pas estimé nécessaire de présenter car entachant certaines personnes et n’ajoutant aucune valeur intrinsèque au cas lui-même.


Le document dont je parle était détenu par le comité de rédaction de LDLN depuis juin 1976 et a refusé sa publication le 25 avril 1977. Le témoin principal était alors un abonné fidèle de la revue. Il risquait de se sentir diffamé (le mot me parait bien fort, disons que sa crédibilité en serait entachée). Les enquêteurs de l’époque entretenaient des relations amicales avec la famille depuis un an environ. L’audition de la bande magnétique permet de se rendre compte que contrairement à une déclaration en date du 17 avril 1976, il n’y eu aucune enquête façon policière. La décision de non publication du comité de LDLN fut prise sans écoute de la bande magnétique.


Les feuilles indiquent clairement :


- Les enquêteurs LDLN (nouveaux) décidèrent qu’il était probablement utile de faire une contre-enquête vu le côté extraordinaire que représentait l’affaire. Le 08 mai 1975 ils prirent compte contact avec la famille. Ces derniers confirmèrent les récits qui n’apporta donc rien de nouveau.

- Le père en revanche ajouta de nouvelles observations de boules les 22 janvier et 25 mars 1975 vers les 6h du matin. Le fils fit remarquer qu’il devait probablement s’agir de phares de voitures.

- Le 25 octobre 1975 une nouvelle rencontre eu lieu au domicile des témoins, faisant suite à quelques échanges par courrier. A partir de cet instant le fils se fit plus prolixe et se mit à faire quelques confidences. « J’ai des révélations à faire » dit-il. Il demanda de garder le sérieux car ce qu’il avait à dire était si fantastique que cela allait faire sourire.

- Le 28 décembre 1975, au domicile d’un des enquêteurs résidant dans le Tarn et en compagnie de M V… fut enregistrée de nouvelles révélations. Roger raconta alors ses décorporation (sortie hors du corps) et parla des ET. Ces derniers franchissaient des milliers d’années lumières en moins d’une seconde. « Si je ne savais que ça, je ne saurais pas grand-chose, avoua-t-il alors, mais je dois rester discret ».


Les enquêteurs notèrent que Roger était loin d’être « en panne d’imagination ». De là ils cherchèrent à cerner un peu mieux la personnalité du témoin principal auprès de personnes le connaissant bien. Cette charge fut conduite par un tiers n’ayant pas de lien avec la recherche ufologique afin d’éviter la méfiance de Roger. Le doute concernant les assertions de Roger fut alors renforcé. La réalité des faits demandaient à être à minima relativisé.


- Ces recherches ne purent mettre en évidence une quelconque activité ufologique autour de la ferme des témoins. Y compris chez les gens résidant à sa proximité immédiate.

- Les affirmations contenus dans le rapport publié dans le numéro 110 de LDLN, qui indiquait que les voisins auraient vu eux aussi la fameuse boule suiveuse, démentir catégoriquement cela : « Nous n’avons jamais rien vu de tel » !

- Le soir ou le fils déclara avoir vu la boule de sa fenêtre, le voisin lui ne vit absolument rien. La déclaration de Roger et du Père est une erreur ! Déclaration gentillette ici.


Le 17 avril 1976, les enquêteurs passant devant la ferme des témoins, se décidèrent à leur dire un amical « Bonjour ». C’est alors que le père fit une déclaration fracassante, mettant en doute les observations de son fils. Il ne se porte plus garant et c’est un véritable changement d’attitude qui s’effectua en l’absence du fils.


Voici en intégral la déclaration du père :


- Il n’y a pas votre fils ? (Contre-Enquêteurs en abrégé CE))

- Non, il est venu ce matin, il reviendra demain. (Père)

- Nous tournons par-là, on questionne et personne n’a rien vu. (CE)

- Non, il n’y a que moi et ma belle-mère, c’était un soir de fête, il n’y avait que moi, ma femme et ma belle-mère. (Père)

- Personne n’a rien vu, on est obligé de le signaler dans LDLN. (CE)

- Pourquoi ? (Père)

- Il n’y a pas de preuve. (CE)

- Certainement pas. (Père)

- Il n’y a que vous, vous le comprenez ? Quand il y avait cet « obus », personne ne l’a vu. (CE)

- Ah mais c’était entre les bois, personne ne pouvait le voir sauf d’ici. (Père)

- Pourtant un « machin » immense, allumé, avec un phare. Il l’a dit votre fils. (CE)

- Oh non, ça n’éclairait pas, non, je n’ai pas vu ça moi. (Père)

- Lui dit qu’il y avait un phare qui tournait et qui éclairait la chambre. (CE)

- Je n’ai pas vu ça, il éclairait là où il était, pas plus. Non, non. (Père)

- Il a exagéré là ? (CE)

- Sûrement, je ne sais pas moi. (Père)

- Il a exagéré quand il a dit « Ça se passait souvent » ? (CE)

- Non, non, 2 fois. Une fois-là, une fois derrière la maison (le père parle de la boule). (Père)

- Vous avez dit quinze fois. (CE)

- Ah oui, le même système est venu 15 fois. (Père)

- Mais le même soir ? (CE)

- Oui, le même soir. (Père)

- Le même soir ? (CE)

- Oui le même soir, oui le même soir, au moins 15 fois. Je n’ai pas compté mais au moins 15 fois et ça se déplaçait. (Père)

- Ce n’était pas un projecteur ? (CE)

- Non, c’était grand. (Père)

- C’était une lumière quoi, peut-être le projecteur de là -bas ! On a questionné EDF, la Gendarmerie. On ne fait pas ça contre vous, vous le comprenez ? (CE)

- Je le comprend bien. (Père)

- Il nous faut tirer au clair maintenant, on le publie sur le bouquin. (CE)

- Il y en a qui ne veulent pas croire. (Père)

- Mais alors ça ne s’est passé que deux fois. Pourquoi votre fils dit que presque tous les soirs il sortait et le voyait ? (l’« obus ») (CE)

- Oh pas tous les soirs, non, je ne sais pas ce qu’il vous a dit. (Père)

- C’est dans le bouquin. (CE)

- Je ne sais pas, je ne sais pas. (Père)

- Comme la poursuite de la boule sur la route. (CE)

- Ah ça c’est vrai, elle m’a suivie. (Père)

- Oui, autour de la maison mais lui en voiture ? (CE)

- Ah là je ne sais pas, je n’y étais pas, je n’ai pas vu ça moi, je ne peux pas vous le dire. Je ne sais rien moi. (Père)



Dessin de JL Boncoeur (LDLN n° 118 page de couverture)


Etrange échange où le père qui confirmait chaque mot de son fils se dédouane à présent. Le fait d’annoncer que ses récits (de la famille) se retrouve dans un ouvrage (6) perturbe manifestement le père. Que les enquêteurs vérifient à minima les déclarations, voilà qui change de l’attitude essentiellement amical et sans aucune mise ne doute des premiers venus in situ. Là la volonté est de comprendre pas d’accepter sans rien dire.


- Pour moi c’est la vérité (son témoignage). (Père)

- Oui pour vous. Voyez votre fils il a exagéré en parlant du phare qui tournait, ce n’est pas vrai ça. (CE)

- Moi je n’ai pas dit ça. Lui n’était pas là ! (Père)

- S’il y avait un phare qui tournait, vous comprenez que cela aurait été vu de loin.(CE)

- Certainement, moi je n’ai pas vu ça. Peut-être quelque chose que lui a vu, mais moi je n’ai pas vu, je n’en sais rien moi. (Père)


Le père dit bien : "Lui n'était pas là" (pour son fils). A minima cela pose question...


Plus loin encore !

- Justement personne ne sait rien, et pourquoi ne l’avez-vous pas dit ? (le voisin était à la fête) (CE)

- Oh… eh… Je ne l’ai pas dit aux voisins pour la bonne raison qu’ils se foutent de nous… On n’a rien dit, c’est le fils qui est allé à la Gendarmerie. (Père)

- Pourtant il n’y a aucune déclaration à la Gendarmerie. (CE)

- C’est lui qui y est allé, mais il y a longtemps maintenant. (Père)

- Ils ont tout regardé devant nous et n’ont rien trouvé là-dessus – l’enquêteur souligne alors : « s’il y avait eu quelque chose se serait souligné en rouge, nous avons des instructions dessus »). (CE)

- Il vous a dit qu’il y allait. Ils ne sont pas venus (les gendarmes) ? (CE)

- Non, ils ne sont pas venus voir. (Père)


Un des enquêteurs de la contre-enquête à certaines affiliations avec la Gendarmerie.


Encore un peu plus loin :

- Votre fils dit qu’il a vu avec vous (la boule) (CE)

- Non, non je ne crois pas. Avec lui non. Je l’ai vu près de 3 h. (Père)

- Les gens de la fête devaient en revenir pendant que vous observiez. (CE)

- Il n’y a pas de jeunes là-bas. (Père)

- Mais ces routes là-bas, il y a bien des gens qui devait en revenir (de la fête) ? (CE)

- Non, il n’y a pas de jeunes là-bas. (Père)

- Oui mais la clarté devait se voir, vous la voyiez d’ici vous, allons… (CE)

- Ca n’éclairait pas, c’était lumineux. (Père)


Une méprise avec un astre se levant ou bien même un éclairage de la fête dans le secteur d’observation du témoin est peut-être responsable. Ce qui expliquerait que personne n’est vu cette fameuse boule. Le fait que le père souligne des déplacements est typique de ce que l’on nomme « la boule suiveuse ». Il observe vers l’est le phénomène au ras de l’horizon, un astre est donc possible, passant derrière la maison, il l’observe devant lui et dans la même direction. Il en conclut de bonne foi que l’objet a contourné la maison pour lui barrer la route. Bref, le but ici n’est pas d’expliquer l’observation mais de décrire l’atmosphère de ces cas totalement atypique et mis en avant par des enquêteurs peut-être trop zélés, voir naïf.


Les enquêteurs poursuivent leur contre-enquête et insiste quelque peu sur le fils.

- Votre fils a pas mal imaginé quand même. (CE)

- Je ne sais pas ce qu’il vous a dit, je n’en sais rien moi. (Père)

- Il a exagéré drôlement, il a exagéré (on rit). * (CE)

- Je ne sais pas moi, je ne peux pas vous dire. (Père)

- Il a voulu que ce soit fantastique quoi, tout est parti de là. (CE)

- Je ne sais pas moi (il rit). (Père)

- Le fils a imaginé. (CE)

- Je ne sais pas moi ce qu’il vous a dit, moi je suis certain de ce que j’ai vu. (Père)


* Il est même possible que voyant la connivence entre la famille et les enquêteurs LDLN le fils en est profité par se faire un peu valoir ! (Note perso)


- Ça s’est passé une fois, c’est tout ? (CE)

- Oui ** (Père)


** L’aveu est lourd de conséquence, le dossier fantastique s’écroule… (Note perso)


- En 66 quoi, pas après, en 67 ? (CE)

- Non, non, non. (Père)

- Finalement il n’y a qu’une observation, en 66 et votre fils a fait pas mal de littérature. Il a dit en 66, en 67 et d’autres fois. (CE)

- Je ne sais pas s’ils les a vues (les boules), moi je les ai pas vues, moi je n’en sais rien. (Père)

- Vous le sauriez depuis le temps, il vous l’aurait dit ? (CE)

- Oui, oui. (Père)


Une visite des lieux où a été observé le fameux « obus » durant trois heures révèle que de cet endroit le moindre phénomène aurait immanquablement été visible des autres fermes alentours. Surtout avec une telle dimension. L’affirmation du père qui consiste a dire qu’il ne pouvait pas être vu est donc faux, c’est tout le contraire. La ferme des témoins était à une distance de 1800 mètres de l’ « obus », la ferme la plus proche à 1300 mètres !

Idem en ce qui concerne l’endroit où le fils déclare avoir vu lui aussi un « obus » avec six boules. Cet endroit ne pouvait être manqué par personne aux alentours. Un engin de 30 mètres de haut aurait inévitablement attiré l’attention. Or personne n’a rien vu !


Début mai 1976, le fils apprendra la nature de cet entretien avec le père. Comprenant que ses histoires tournaient court il envoya un courrier explicite, confirmant la réalité des observations décrites dans LDLN, regrettant la contre-enquête et fit savoir qu’il adressait une déclaration solennelle aux responsables de la revue LDLN afin « de dissiper le doute que nous tentions d’instaurer » (écrit au mot près des contre enquêteurs).


P. Michel conclut : Je ne jugerai pas la crédibilité des témoins, le lecteur le fera mieux que moi. Par contre tous les développements parapsychologiques (voir plus bas) (dédoublement, prédictions ou visions d’êtres) sont sans rapport avec les phénomènes observés par le fils, mais au contraire liés au terrain psychologique du témoin et évoluant pour leur propre compte.

V. Jean-Luc conclut : Nous avons conclu, ç la suite de l’enquête, à la bonne foi de l’aïeule et du père de famille. Par contre nous rejetons (pour des raisons bien compréhensible) l’observation et les dires du fils. Nous pensons en toute logique, que le phénomène observé s’est déroulé le 13 juin 1966 au soir et seulement ce jour-là, le père de famille nous l’ayant confirmé.

Cet enquêteur ne rejette pas la possibilité que le père puisse avoir été témoin de l’« obus » et envisage même une possible confusion avec des phares de voiture. Mais la durée semble problématique.

C.Maurice , le troisième enquêteur conclut quant à lui : Je ne puis prendre en considération le récit du témoin principale (obus, poursuite de la boule en voiture, soucoupe etc…) pour plusieurs raisons :

- Ses extravagantes déclarations concernant sa vision de l’obus avec phare tournant.

- L’absence de témoins concernant la vision de l’obus avec phare tournant.

- La déclaration des voisins.

- Son refus réitéré d’une expérience d’hypnose * qui aurait peut-être permis de confirmer ses dires.

-La dernière déclaration de son père ne se portant plus garant de ses récits.

-Le fait d’avoir ajouté des éléments connus à son premier récit après la venue du M Dupin de la Guerrinière.


* Nous savons qu’une séance d’hypnose ne peu certifier une quelconque vérité, même avec les précautions d’usage. Ce point m’apparait donc totalement inutile. (Note perso))


J’ajoute à tout cela le fait que l’observation de l’obus pendant trois heures a été effectuée durant la fête se déroulant dans les environs et que personne n’a rien remarqué.


En résumé, les événements dit « des boules de l’Aveyron » qui firent la une de LDLN n° 107,108 et 109 avec un complément dans le n° 110 sont en grande partie des affabulations en provenance du fils. Cette affaire se résume essentiellement à :


- Le 13 juin 1966, dans la soirée, alors que la fête se déroulait dans les environs, une boule faiblement lumineuse a été aperçue à proximité d’une ferme. Disparaissant comme éteinte et réapparaissant plus loin instantanément. On avait l’impression qu’il s’agissait de plusieurs objets paraissant avoir un comportement intelligent, elle a, par deux fois, barrée le chemin du témoin qui tentait de l’intercepter.


C’est juste un cas résiduel de plus dans la casuistique ufologique. Un cas parmi de très nombreux autres, ici probablement un astre bas sur l’horizon lié à un phénomène dit de boule suiveuse parfaitement connu et reconnu des enquêteurs ufologique pertinent, et certainement vérifiable à l'aide d'outuil spécifique.


Ce qui est dramatique ou cocasse au choix c’est le fait que les enquêteurs de l’époque possédaient des éléments leur permettant, avec leur expérience, de formuler de sérieux doutes sur le récit du témoin principal. Ces éléments passèrent sous silence !


Il faut ici remercier la volonté et la farouche détermination des enquêteurs ayant mené la contre-enquête avec tout le sérieux possible. Même s’ils n’ont pas identifier une possible méprise au départ, ils ne furent à aucun moment sensible au découragement, même lorsque LDLN refusa une publication remettant les choses en place.


Vous l’avez compris, le témoin principal à une personnalité peu banal. C’est le moins que nous puissions en dire. N’étant pas psychologue je ne me prononcerai pas sur un quelconque diagnostique type « mythomane », mais nous sommes en droit de penser que nous n’en sommes pas loin.


Sans l’opiniâtreté des enquêteurs LDLN, V, C et même P, sans ce désir d’en savoir plus, cette volonté de confirmer, de ramener d’autres faits et sans cette curiosité à comprendre, nous aurions encore et toujours un cas monumental au panthéon de l’ufologie française, comme ce fut le cas pour celui de Taizé !


Ici on ne cherche pas à convaincre quiconque, mais juste à donner d’autres informations qui, j’ose l’espérer, permettrons aux chercheurs honnêtes de ne plus perdre de temps avec les fariboles aveyronaises.


La dernière leçon qui me vient à l’esprit est celle de la nécessité de vérifier les cas emblématique anciens, LDLN ou Ouranos , voir Phénomènes Spatiaux. Le temps n’est plus aux années 70 ou 80 où seul le récit fabuleux avait droit de citer. Le temps est celui du respect des informations, qu’elles plaisent ou non. Que de travail encore à faire…


L’Ufologie se raconte les faits s’étudient.


UFO l’savoir non

(Avril 2023 P Seray)


En marge du côté purement ufologique, il convient de mettre une petite explication sur ces prédictions faites par M Roger, le fils, témoin principal de l’affaire. Cela éclaire positivement les dires des contre enquêteurs.


Le 25/10/1975 les prédictions suivantes furent tenus :

- Le peuple allemand va disparaitre – suite d’un traité entre la France et l’URSS)

- L’Angleterre et les USA vont fusionner et un gouvernement américain gouvernera l’Angleterre.

- Le communisme va envahir le monde, cela débutera en Italie.

- La religion catholique c’est fini, des prêtres seront tués.

- En 1986, grande vague de chaleur en Europe.

- Renversement de l’axe terrestre avant l’an 2000.

- Guerre entre Russes et Américains.

- Région de Chicago inondée.

- Vers 2008 atterrissages en masse d’extra-terrestres venant d’un autre système solaire.

- Soulèvement du sous-sol méditerranéen (dû à une super bombe chinoise).

- En 2004 guerre Russie-Chine (atomique) durée 3 ou 4 ans.

- La France sera le dernier pays où le communisme s’installera.

Ce ne sont que quelques exemples.


Extraits de l’enregistrement du 28/12/1975 :

- Ça prête plutôt à rigoler (C-E)

- Malheureusement dans quelques années ça ne prêtera pas à rigoler, vous pouvez le noter tout ça. (Fils)

- Le magnétophone tourne. (CE)

- Ah bon ? Vous êtes sûr ? (Fils)

- Comment cela vous vient-il ? de vous-même ? (CE)

- Non, cela ne vient pas de moi, je dois rester discret là-dessus. (Plus tard il avouera que ces prédictions lui apparaissaient lorsqu’il était en état de dédoublement). (Fils)

- Ces prophéties sont sans rapport avec le phénomène OVNI. (CE)

- Dans l’Univers tout se tient, tout fait un. Dans l’Univers il y a la place pour chaque chose, sinon on ne serait pas là, il n’y aurait pas de vie. (Fils)

- Vous dites, atterrissage en masse d’ET, dans le but de venir vivre ici ? (CE)

- On les combattra au début, mais je ne crois pas qu’on fasse le poids. (Fils)

- D’où viendrait-il ? (CE)

- D’un autre système solaire éloigné de plusieurs millions d’AL. (Fils)

- Ça fait un drôle de voyage. (CE)

- Non, ils peuvent venir en quelques secondes. (Fils)


(6)- Mystérieux Objets Célestes, Edition Albatros. Sous la direction de F Lagarde. Pages 146-184



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