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Coquin de Soleil...

Dernière mise à jour : 11 mars 2023

Cet article nécessite un petit retour en arrière. La première partie n’a jamais été publiée jusqu’à présent certainement parce que l’exégèse était trop contraire à ce que d’aucuns voulaient répandre ! En revanche, le second phénomène, plus spectaculaire, eut les faveurs d’une honorable publication dans « Lumières dans la Nuit » avec une magistrale « Une » de couverture ! De quoi flatter l’ego d’un jeune enquêteur ufologique souhaitant montrer sa preuve ultime !
Voici donc le dossier d’époque puis son explication … prosaïque.

RETOUR SUR L’AFFAIRE DE THORIGNY (77) ou diffractions en série….

Notre premier déplacement en tant qu’enquêteurs remonte au 03 janvier 1976. Ce jour ne fut guère utile à la collecte des éléments relatifs à l’observation du 20 décembre 1975 dont la presse locale avait fait état.(1) Le témoin principal est professeur, son travail mais certainement aussi une certaine réserve, ne nous permettent pas de la rencontrer. Quatre autres visites des lieux pour parler aux témoins ont été nécessaires pour établir le rapport suivant :
Lors de notre premier passage nous avons sollicité le commissariat de Lagny qui nous apprit une autre observation survenue quelques jours plus tard, le 26 décembre précisément. Le 06 janvier, nouvelle tentative d’approche du témoin principal.
Cette dernière, Mme P exerce au CES de Thorigny. Elle me déclara :

« D’abord les journaux en ont trop rajouté. Puis cela a disparu très vite. De toute façon il s’agit, sans aucun doute, d’un phénomène météorologique. Voilà ce que j’ai à vous dire. Au revoir Monsieur ».
Un autre professeur rencontré un peu par chance, nous informa que les élèves, 19 en tout, étaient surchauffés par les vacances. Nous apprendrons plus tard que la Directrice (qui n’avait pas l’air très heureuse de la visite) était présente pendant l’apparition du phénomène et qu’un coup de fil au Conseil d’Administration de Melun, afin de prévenir de ma venue, aurait conduit à une interdiction pour moi, d’entrée dudit collège. Mme P. fut également conviée à raconter son observation à ce même conseil, ce qui pourrait expliquer son si bref témoignage…
Qu’à cela ne tienne ! Le 24 : troisième visite. Second passage à la gendarmerie et au commissariat de Lagny. Toujours aucune déclaration déposée par le témoin principal. Ce témoin avait cependant convenu d’effectuer cette démarche, avant mon passage au collège. L’inspecteur, avec qui j’ai longuement discuté, et qui avait recueilli de façon informelle les paroles de Mme P., m’affirma que nous pouvions la considérer comme sérieuse.
Nous avons alors décidé de forcer les choses. Méprise ou non, cela valait le coup ! En matinée, nous avons distribué des cartes de visite aux élèves qui sortaient du CES. En début d’après midi, la chance (enfin !) nous a souri. Nous avions décidé d’aller « croquer un bout » dans un bar face au CES. En ayant parlé à la serveuse (ne sait-on jamais ?) cette charmante personne nous présenta deux étudiants d’une classe de 3éme. Eux aussi auraient assisté au phénomène…

Ils nous ont confirmé qu’il y avait bien 19 élèves de la classe de 5éme, mais aussi quatre autres de leur propre classe ainsi que d’autres encore présents dans la cour de l’école au moment des faits. Ils nous précisèrent aussi que certains professeurs avaient observé aussi, ce que nous confirmera un autre éducateur du collège plus tard.
Les 24 et 25 janvier suivants, je reçus plusieurs appels téléphoniques grâce à la distribution des cartes de visite. Comme souvent lorsqu’il y a un appel à témoins sous une forme ou une autre, d’une seule affaire, nous nous sommes retrouvés avec deux, biens distinctes ! C’est ce que je vous propose de découvrir dans ce dossier particulier.

Le 20 décembre 1975 à 08h:45
Revenons à ce professeur que nous avions rencontré un peu par hasard : il nous confirma un état d’excitation intense chez les élèves, consécutif à l’observation du phénomène. Pour lui, il s’agissait de quelque chose de vraiment bizarre n’ayant aucun rapport avec une aberration météorologique. Mme P. aurait reçu le matin du 06 janvier (seconde visite pour nous et rencontre avec elle) un coup de téléphone de la télévision française (laquelle ?) pour lui demander un rendez-vous, ce qu’elle déclina… Les faits auraient eu lieu à Thorigny (Seine et Marne), faubourg de Lagny. A quatre ou cinq kilomètres se trouve la ville de Montévrain et à deux kilomètres Dampmart.
Le temps était couvert et brumeux ce jour du 20 décembre 1975. Le soleil se levait à 08h42 et l’observation à 08h45.
Les premiers témoins (19 élèves et Mme P.) virent un étrange phénomène au-dessus de Dampmart (à l’est). Ils s’exclamèrent et constatèrent la présence d’une masse ovoïde de couleur rouge orangée et entourée d’une brume bleu-vert. D’après le professeur, cet événement ne dura pas très longtemps. Les journaux mentionnèrent, eux, une durée pouvant atteindre les cinq minutes.
Le commissariat, sur main courante, donna une notion de temps oscillant entre 7 et 8 minutes, ce qui paraît fort long pour une observation « brève ». (Croquis en A)
L’objet aurait été stationnaire au-dessus d’un groupe d’arbres et à une hauteur d’environ sept mètres. Puis, l’ensemble s’éleva à une vitesse stupéfiante, en moins de quinze secondes…
Jean-Luc et Patrick T., deux frères, élèves au CES de Thorigny suivaient leur cours depuis peu lorsque l’un d’eux remarqua que deux de ses camarades semblaient fort intriguées par quelque chose au dehors. Il appela son frère et tous deux regardèrent à leur tour. Ils virent une masse orangée stable au-dessus de Dampmart là ou aurait dû se situer le soleil. La grosseur de cette « chose » semblait identique à l’astre du jour, mais sa forme restait vague. Une sorte de nuage de brume entourait l’objet. Ils notèrent une forme approximativement rectangulaire pour l’un et ovoïde pour l’autre. Le ciel était bouché par un plafond nuageux assez dense. (Croquis en B)
Aucun des témoins n’a vu l’apparition du phénomène et ils ne le verront pas non plus disparaître. L’observation se prolongera durant moins d’une minute et pendant ce laps de temps, ils ne remarquèrent rien d’autre qu’une masse orangée.
Un autre témoin nous déclara à peu de chose près la même chose, mais assista en revanche à la disparition du phénomène. Il se trouvait dans la classe des 19 autres témoins et aperçut une masse ovoïde de teinte rouge orangée qu’une brume entourait. Cette dernière était de couleur bleu-vert, ce qui l’intrigua passablement. Au bout d’une minute environ, la masse s’éleva, d’abord lentement, puis de plus en plus vite, en direction du ciel jusqu’à disparaître complètement. A sa place le soleil apparut alors. Il nous réalisa le croquis ci-dessous. Cette affaire nous faisait irrésistiblement penser à un lever de soleil observé dans des conditions particulières. Il était 08h42, le soleil sortait de l’ombre crépusculaire. Une brume épaisse régnait sur la région et le plafond nuageux était chargé. Il n’y avait pas de vent !

Dans ces conditions, les témoins observèrent alors sa luminosité derrière une bande éparse de brume et l’astre prit différents aspects dont l’aspect ovoïde. La brume l’entourant accentua une luminosité parasitaire tout autour, d’un bleu-vert. Continuant sa montée vers le ciel, passant au-dessus de la brume, la vision enregistrée par les témoins a alors pris un tout autre aspect. Il leur sembla voir « l’objet » s’élever d’abord lentement (normal puisque dépassant la brume matinale) puis l’illusion s’estompa ce qui leur fit penser à une forme de fuite du phénomène. L’astre réchauffant apparut ensuite « pour de vrai » !
Ce phénomène observé à l’est, au moment où le soleil s’extrait de l’horizon, semble bien être une diffraction du soleil levant causé par un voile de brume ! Rien de bien mystérieux ici, mais en revanche un témoignage de plus à mettre à l’actif des méprises. Nous noterons au passage pas mal de similitudes avec un phénomène observé le 02 novembre 1972 à Doucier (Jura) qui pourrait bien s’expliquer d’une manière identique… (Voir LDLN n°125 d’avril 1973- enquête de M.Tyrode).
Une note amusante existe (1) sous forme d’un courrier publié à cette époque par la revue « Nostra » où son auteur explicite l’affaire par l’explosion d’un bolide…
De quoi rêver….

Le 26 décembre 1975 à 08h55
Cette affaire fut donc portée à notre connaissance par les policiers de Lagny. Les journaux n’en parlèrent pas ! Nous avons rencontré le témoin, un homme fort sympathique et surpris de nous voir arriver. Il s’agit de M F.l. qui nous narra avoir assisté à un phénomène aussi étrange que celui rapporté par les journaux de la semaine précédente. Ce témoin habitait une résidence se situant juste derrière le CES de Thorigny et dans l’axe direct avec la présence du phénomène décrit cidessus.
Il était 08h55 lorsque M.F. ouvrit sa fenêtre pour secouer des chiffons. Soudainement il aperçut à sa grande stupeur, un étrange objet s’allumant d’un seul coup. Sa forme lui rappela celle d’un vaisseau, mais sans mât.
Pour mieux décrire, il précisa que le phénomène ressemblait à la coque d’un bateau, légèrement arrondi et possédant des striures montant jusqu’à sa moitié (voir le croquis qu’il en fit). Plat au-dessus, il avait une masse imposante ! D’après notre témoin, l’objet couvrait la moitié du paysage ( ?)…
Il nota également une teinte orangée, mais incandescente, très lumineuse.
Sa femme, témoin à son tour, déclara : « Moi, ça m’est apparu d’un coup ! Comme ça ! Et alors il a sautillé légèrement de droite vers la gauche et là, il s’est stabilisé … »
L’objet, selon ce témoin, donnait l’impression de « frétiller » avant sa stabilisation. Ils assistèrent au départ du phénomène, d’une manière singulière qui devait les frapper. Effectivement, le « vaisseau » sembla disparaître par effacement du dessus et en biais. C’est à dire comme s’il montait en s’inclinant afin de ne laisser entr’apercevoir que le dessous.
Les mots exacts de M.F. sont : « C’est la partie supérieure qui disparut en premier ». Le phénomène est apparu très exactement à l’est-nord-est, puisque nos témoins notèrent la présence du soleil plus à l’est (donc à droite du phénomène).
L’évaluation de taille apparente de l’objet fut délicate. La perception et la restitution est chose difficile en ce qui concerne une dimension ou une distance d’un objet lumineux, nous le savons tous. Les estimations sont en conséquence sujettes à caution. D’après les témoins rencontrés l’objet aurait eu une grosseur comparable à celle d’un pavillon ( !).
Il tenait dans le paysage, une place couvrant la bonne moitié d’un bosquet d’arbres et descendait jusqu’à un creux matérialisé par de l’herbe. Quand à la hauteur, la base de l’objet se trouvait sous le bois et le haut cachait le toit d’un pavillon. Pour les témoins le phénomène semblait se trouver entre la maison et le bosquet d’arbres, donc en stationnement près de Montévrain (4 ou 5 Km à vol d’oiseau). Le temps d’observation fut d’environ cinq minutes (peut-être six). M F. vit pas ce « frétillement » que seule sa femme nota. Après ces quelques minutes d’apparente immobilité, le phénomène disparut comme déjà décrit, dans un laps de temps de 40 voire 50 secondes.

Ce jour la, le temps était nuageux et de la brume était présente. Notons un lever du soleil à 08h45, soit dix petites minutes avant l’observation.
Croquis de M.F.

Les stries figurant sur ce croquis pourraient n’être que des bandes de brume plus ou moins épaisses. Si nous nous amusons à superposer une boule sur ce dessin, l’aspect figurant en bas trouve une cohérence puisque le phénomène était en partie caché par une maison et des arbres ! Le phénomène pourrait être un soleil se levant (depuis cinq minutes environ) et c’est ce que confirma notre témoin….

A l’ombre des similitudes.
A une semaine d’intervalle, deux cas nous sont donc parvenus de Thorigny. Si le premier s’expliqua aisément par le lever du soleil, pour le cas suivant, l’astre du jour était visible en sus de l’ovni, bien que fort bas sur l’horizon, selon ce qu’ont noté nos témoins.
A cette époque je fus perturbé par cette double présence, celle du phénomène et celle du soleil. Un manque de réflexion de ma part généra une publication dans la revue « Lumières dans la Nuit » numéro 161 de janvier 1977 (pages une et 21-22). Cela me procura une certaine honte quelques temps plus tard. Diverses informations données par les témoins étaient pourtant révélatrices. Cette sorte de « frétillement » d’abord : le soleil naissant devait projeter son image sur une mince couche de brume. Ensuite, la manière dont « il » disparaîtra : « C’est la partie supérieure qui disparut en premier » – dixit M.F ! Le soleil montant, de basses couches de brume cachèrent progressivement le haut du phénomène et son image.
La montée rapide (le temps donné par nos témoins est très sujet à caution) s’explique de la même manière que pour le phénomène enregistré le 20 décembre !

Conclusion.
Deux cas de méprises avec le soleil levant, des nuages, de la brume.
Pour le second cas les témoins durent être quelque peu influencés par les articles de presse parus quelques jours auparavant, ce qui les empêcha d’identifier la cause du phénomène observable alors. Encore une fois, les termes choisis lorsqu’une observation de ce type survient ont été importants. Les « images » données sont claires et précises et les témoins ne peuvent être incriminés d’avoir une imagination débordante.
Après coup la découverte fortuite d’une carte postale en apparence banale et nous avons ici une preuve que l’aspect du soleil peut générer une telle méprise avec notre astre tutélaire tant la ressemblance est frappante avec le dessin fait pour ces cas de décembre.

Similitude...

VILLEMBRAY (60) 27 février 1970 – 18h15
Les méprises avec notre astre tutélaire ne seraient-elles pas fréquentes ?
Il existe quelques circonstances particulières où la non reconnaissance de l'occurrence peu engendrer une confusion. C'est le cas de Thorigny (77) que nous venons de voir ci-dessus et que le CNEGU a publié dans son intégralité, dans son organe d'expression "Les Mystères de l'Est" n° 10. C'est en fouillant mes archives et dossiers ufologiques personnels que j'ai retrouvé une lettre de témoin et un dessin qui avait en son temps alerté mon sens critique et j'avais simplement annoté "Soleil se couchant" à la simple vue du dessin. Mais avais-je alors raison sur l'exégèse probable et surtout sur la simple vue d'un croquis ? Il n'était guère aisé en ce temps là de vérifier facilement ce type de méprises, que ce soit pour la lune, Vénus ou même le soleil. Avec les logiciels d’astronomie gratuits sur le net aujourd'hui, il est aisé de vérifier si l’hypothèse émise est possible, probable voire certaine.

Le cas :
Le témoin, Lisette M… était alors institutrice à l'école de Senantes (60), un petit village proche de Villembray (env. 3 km). Ce vendredi 27 février 1970, alors que le temps est brumeux et qu'il était aux environs de 18h15, elle revenait de Grillon en compagnie de Madame T… pour rentrer sur Villembray via Senantes.
C'est sa passagère qui observa en premier lieu l'étrange phénomène. Cela faisait quelques minutes mais elle ne désirait pas troubler la conductrice. Lorsque le véhicule arriva à un carrefour puis tourna vers la droite (voir plan joint), Mlle M… se trouva face à face avec une étrange lueur. Elle observa le phénomène alors que la voiture grimpait une pente. Surprise, elle leva le pied afin de mieux observer l'apparition lumineuse face à elle. Instantanément, elle dit : "Tiens le Soleil ?"
Ce à quoi sa compagne de route lui rétorqua "Mais non, regardez mieux, ce n'est pas cela…" (1) Elle décrivit ainsi la chose surprenante : " En fixant mieux, j'ai vu une forme incandescente se mouvoir. Elle était rouge sans aucun rayonnement, au dessus de nous à 1500 m environ, mais nous nous rapprochions petit à petit".
Pour mieux décrire les mouvements ou plutôt transformations de l'objet observé, Mlle M… exécuta un dessin en plusieurs phases.
La masse entrevue pouvait avoir la taille d’une petite montgolfière, dont les bords étaient cachés par la brume.


Puis en quelques secondes cette curieuse masse rouge s'estompa, donnant même l'impression de s'éloigner « pour se cacher ». D'un coup il n'y eut plus rien. La durée totale de l’observation a été estimée entre 3 ou 4 minutes par ce témoin.
Une carte, un emplacement, une flèche indiquant la direction de l’observation, c’est ce qui est proposé plus loin pour clarifier le récit.

Alors ?
Alors le soleil a été l’hypothèse envisagée à l’époque et les éphémérides donnaient du poids à cette éventualité. Mais par acquis de conscience, une vérification a été faite plus tard à l'aide de Stellarium. Le plan reproduit plus haut indique que les témoins observèrent le dit phénomène vers (l'Ouest-Sud-Ouest) et le logiciel astro indique que le soleil se couchant se trouvait bien à l’azimut 255° et hauteur angulaire de moins de deux degrés (2°) au moment de l’observation !
Avec STELLARIUM (pour Beauvais) : Azimut = 255.03° ha = 1.58° coucher à 18H 25
Avec PLANETAR Azimut = 255.04° ha = 2.04° coucher à 18H 26
Je précise que PLANETAR est un logiciel en BASICON, que Dominique Caudron (voir son extraordinaire travail sur sa page Oncle Dom (4) a réalisé il y a bien 25 ans. Grand merci pour ses vérifications. Nous avons bel et bien affaire au Soleil couchant vu au travers de la brume !
En conséquence Mlle M… avait parfaitement raison en s'exclamant "Oh, le soleil" et notre impression, à la vue du croquis, était fort juste. Voici donc une méprise peu courante, mais ne souffrant pas de contestation possible.
Le soleil, notre astre tutélaire, a frappé involontairement et il est certain que sans Madame T…, Lisette n'en aurait jamais fait cas.
Le soleil se couchait entre 18H 25 et 18H 26 et à 18H 15 il était à un peu plus de 2° de hauteur, à cause de la réfraction, dont Stellarium ne tient pas compte Il faut aussi prendre en compte la hauteur de l'horizon, en raison de la pente de la route.

Que ce soit au matin, au coucher, tout comme le Lune, le Soleil peu surprendre des témoins. Certes, ces type de mésinterprétation est bien moins fréquente, mais elle existe.
Ce qu'il vaut retenir : les témoins ont souvent la bonne intuition lorsqu'il pense de suite au soleil, la lune, une étoile, un reflet etc... Lorsque vous aurez à analyser un cas, posez leur ces deux questions :
- A quoi ce phénomène vous a-t-il fait penser ?
- Et pourquoi d'après vous ce n'est pas cela ?
Souvent vous aurez la réponse à l'énigme.

Ufo l'Savoir non ?
(P Seray - Mars 2023)

Notes :

(1) – Nostra « courrier des lecteurs » lettre de M. R.C… Ce courrier figure au début de cet article.
(2) – LDLN n° 161 de janvier 1977 – Page de couverture et page 21. Enquête de l’auteur.
(3) - Il faut ici préciser que Mme T est connue pour avoir fait part de plusieurs observations. Dans le secteur tout le monde sait que des "soucoupes", son mari en a vu à deux reprises. Nous devons même préciser l'ascendant que cette personne a sur les autres concernant le sujet.
(4)- http://oncle.dom.pagesperso-orange.fr/

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